Mon enfant, mon tout-petit,
Plus que jamais je ressens le besoin de t'écrire. On parle tellement de toi à la maison! J'espère que nous serons à la hauteur... C'est ma plus grande angoisse. Enfin bref, je n'ai de cesse de t'imaginer. Mais voilà, comment imaginer un enfant, son enfant, sans savoir quelle sera sa couleur de peau, sans connaître son sexe, son âge, etc.?
Je suis enceinte mais personne ne le sait. Grâce à toi, je porte la terre entière. Et je ne connais pas les frontières... Grâce à toi, je voyage beaucoup. Depuis l'obtention de l'agrément, cela fait dix mois que je vis une grossesse spéciale... Et elle n'est pas finie! Un jour, peut-être, dépasserai-je le temps de gestation d'une éléphante, qui sait?!
Allo Elise,
RépondreSupprimerJe comprend très bien ce que tu vie car nous vivons exactement les mêmes chose et les mêmes questions que toi me trotte dans la tête tous les jours! Je t'envoie tous pleins de courage ma belle et garde espoir...
Bisou
Manon
"Autour de moi, tu es partout
RépondreSupprimerComme une ombre qui me veille
Si loin de toi, je te vois partout
Comme une ombre, tu me veilles...
À distance,
on a trouvé les mots
même en silence
On s'est vu...
même en fermant les yeux
On s'est retrouvé
même sans s'attendre
à distance..."
Ton texte est plein de sensibilité et la photo qui l'accompagne magnifique !... Bravo de "porter le monde"... c'est loin d'être simple !!! Sincèrement. Mymy.
Un jour, tu pourras peutêtre faire imprimer ton blog et ton enfant saura qu'il a été attendu très fort très fort par sa mamant !
RépondreSupprimerGros bisous à vous!
Quelle jolie image tellement parlante!!!!!
RépondreSupprimerUne jolie déclaration d'amour...
xxx
Mymy, ce que tu as écrit est très beau... Merci de me faire partager ce beau moment...
RépondreSupprimerNous faisons tous et toutes des déclarations d'amour à nos enfants tant attendus, dans nos têtes, sur un papier, sur un blog, partout.
Qu'il est beau votre texte, ça me donne les larmes aux yeux, c'est une belle déclaration d'amour à votre enfant qui vous attend quelque part. J'ai ressenti la même chose, comme une maman qui attend qui attend...
RépondreSupprimerSandra