lundi 29 avril 2013

Quoi de neuf? Rien...

Et voilà, la sérénité laisse la place à la déception, à l'incompréhension, au ras-le-bol aussi. 
L'attente, l'attente, toujours l'attente. "En cours" depuis des mois, ça stagne affreusement. Mars-avril : nous espérions avoir des nouvelles... Mars : nous n'attendions rien. Avril : nous n'attendions rien d'autre que la fin du mois. Fin du mois: toujours au même stade... En deux mois, rien n'a bougé, rien de rien, que dalle, nada. Nous nous attendions au pire ou à une bonne nouvelle, mais à pas à cet entre-deux. C'est épuisant.

jeudi 25 avril 2013

Joie dans mon coeur

Est-ce le soleil et les 24°C qui y sont pour quelque chose?
Les jours qui passent et qui, par conséquent, nous rapprochent de toi peut-être?
A moins que ce ne soit les échanges avec une amie de l'attente devenue amie tout court?
Ou alors, ce sont sûrement des trouvailles, ici ou là, que l'on découvre avec la même excitation que si l'on dénichait un coffre aux trésors...

vendredi 19 avril 2013

Dans mon coeur, j'ai un arbre fait de milliers de coeurs, de lettres, de mots tout doux. Cet arbre, il n'aura de cesse de grandir, tout au long de ma vie, parce qu'il est rempli de toi mon petit coeur "toulabas". 
Dans mon coeur, j'ai un arbre fait d'un même amour, arrosé au fil des années, au fil de la patience (ou plutôt de l'impatience!). 
Un jour, on dessinera ensemble ton arbre généalogique, à plusieurs racines. Nous te raconterons ton histoire, et celle qui nous a menés à toi. On y mettra des coeurs bien sûr, parce qu'il n'y a pas d'histoires comme celle-là sans amour, mais on y mettra surtout tout notre coeur de parents.
En attendant, mon petit amour, on arrose cet arbre, afin qu'il pousse et que les premiers coeurs te parviennent. 

mardi 9 avril 2013

Légère

Aujourd'hui, c'est une belle journée. Non, je ne parle pas du temps car lui, malgré le printemps, il reste maussade. La pluie ne cesse de tomber. Mais aujourd'hui, c'est soleil dans mon coeur. Un couple d'amis semble trouver son chemin et ça, ça fait fait un bien fou, fou, fou (oui, comme le collège! #V'làlaréférence!).

dimanche 7 avril 2013

Envie de croire

J'ai envie de croire que les rayons du soleil caressent ton visage.
Envie de croire que tu vas bien, que tu rigoles, que tu n'es pas malheureux. Mais ça, on ne le saura jamais. 
J'ai envie de croire que bientôt, tu auras un papa et une maman, qui t'attendent de toutes leurs forces et de tout leur amour. J'ai envie de croire qu'il y a de l'espoir et que rien n'est perdu. J'ai envie de croire que tout est possible. Envie de penser que c'est faisable, jouable. Il n'y a plus de délai. Cela peut encore durer longtemps. Voilà ce qu'on nous a laissé entendre. Pourtant, j'ai envie de croire encore que ça pourrait être pour bientôt, sans être pour autant dupe. Il ne faut pas rêver : on se disait qu'en juin, pour l'anniversaire de Fabien, ou pour le baptême de notre neveu et filleul Dorian, nous serions au pays des dragons, volant à ta rencontre. Là, on ne se le dit plus vraiment. C'est la première fois qu'on ne se dit plus : "Allez, courage, ça va être pour ce mois-ci!" La toute première fois. Pourtant, on y croit toujours... J'ai envie de croire que dans les prochains mois, nous serons ensemble. Peut-être cet été, pendant la saison des pluies? Peut-être plus tard, cet hiver... J'ai envie de croire à tout ce qu'on me dira. J'ai envie de croire que tu n'es pas qu'un rêve. 

samedi 6 avril 2013

Une semaine...

A la maison, on ne dit plus "Une semaine de plus en moins" comme nous avions l'habitude de le faire, résolument optimistes et joyeux. Non. On dit : "Une semaine de plus en plus". Le ton est donné et on ne rigole plus vraiment. 
Plus de huit mois qu'on attend un apparentement officiel. Huit mois qu'un enfant pousse loin de nous, sans nous, et huit mois qu'on navigue sans lui. C'est un peu fou quand même, cette attente. Un peu fou et totalement incompréhensible.

Agacée, moi?!

"Il faut prendre votre mal en patience"... Gloups, vous pouvez répéter siouplaît?!
Mon mal, je l'ai assez pris en patience et, surtout, au-delà de tout ce qu'on peut s'imaginer, je n'ai plus la patience... Hop, envolée, celle-là! Perdue à jamais.
Je sais bien, ce n'est pas dit méchamment, loin de là même... mais je suis pas d'humeur!

Allez, le week-end est là et je vais essayer de profiter de ces deux jours de repos, m'autorisant à ne rien attendre d'un samedi et d'un dimanche.